Amarante | | Bonjour / Bonsoir / Bon appétit (oui, certaines personnes surfent sur le net en mangeant ! Allier l'utile à l'agréable, ce n'est pas une si mauvaise idée...). Si vous n'aimez pas lire, alors gare à vous et sortez d'ici vous allez rapidement décrocher ! Ce sujet -n'étant pas un sujet officiel- bien que posté dans le flood est très sérieux (même si le fun ça ne tue pas un RPgiste). ( Évidemment vous avez droit de poster à la suite pour donner vos avis. Ce sujet peut aussi faire l'objet de critiques positives comme négatives n'hésitez pas ! Si vous voulez des avis sur l'un de vos textes pour pouvez aussi le poster à la suite ! En revanche attention vous pouvez ne pas aimez mais restez courtois et polis il y a des façons de présenter les choses afin de ne pas vexer ! ) Nous avons constaté que pas mal de membres avaient parfois quelques difficultés pour rédiger leurs tests de Rp. L'inspiration et l'imagination ne sont pas toujours au rendez-vous, comprenez il faut qu'elles fassent des pauses entre tout ces clients impatients ! Donc j'ai pris la liberté de rédiger ce sujet afin de vous donner quelques indices sur les exigences des jury de notre forum ! Pour cela, je me permet de donner des exemples de différents membres (qui se reconnaitront ou non) mais ne stipulerai aucun pseudo ni aucun nom afin qu'il ou elle ne soit pas embarrassé. Si voir l'une de vos créations dans ce sujet vous déplait (ce qui est tout à fait envisageable) envoyez moi un Mp ainsi que l'objet de vos tourments ! Sur ce, bonne lecture ♥. Premier point important qui dépasse de loin tous les autres, la surprise. Pour avoir lu de nombreux textes et romans, il peut arriver que certaines choses m'ennuient et je ne pense pas être la seule. Parfois, en lisant les premières lignes d'un test, sans y réfléchir vraiment, je sais pertinemment ce qui va se passer et pourtant je ne possède pas de pouvoirs divins (du moins ne l’avouerais-je pas ouvertement pour ne pas vous effrayer). Prendre son lecteur au dépourvu, c'est essentiel. Si vous arrivez à surprendre le jury, vous pouvez être certains que les fautes et tout le reste n'auront presque plus d'importance. Pas totalement parce que quand même, on fait semblant d'être sérieux (même s'ils nient, les staffiens ne fichent rien ! J'ai des preuves !). Ah oui, si vous n'avez pas le courage de lire, je vais résumer pour vous parce que je suis sympa, mais je vous conseille vraiment d'y jeter un coup d'oeil. - Exemple:
Puis-je me permettre d’appeler cela, un grand jour ? Je ne sais pas trop... Mais je pense que non. Certes, dans quelques minutes, ma vie toute entière pourrait être chamboulée : je vais peut-être me faire rejeter ; ou encore être "accepté" si je puis dire. Mais quoiqu'il advienne, je ne pense pas que je me rappellerai toute ma vie de la date exacte du jour ou j'ai enfin prit mon courage à deux mains, pour dévoiler ce que je m'efforçais de tenir caché. Je ne peux pas voiler l'excitation, l'appréhension, l'angoisse, et la joie qui m'envahissent. Une sorte de rictus incontrôlé se dessine sur mon visage, entre sourire nerveux et expression béate. Ce doit donner une drôle de grimace, assez effrayante. J'essaye de reprendre mon calme, celui qui donne parfois l'impression que je suis inébranlable. Mais rien n'y fait, mon cœur bat de toutes ses forces avec une frénésie que je ne parviens pas à stopper. Il s'apparente à un petit oiseau furieux qui voudrait fuir cette prison d'os et de chaire, sans y parvenir. Je m'assois au pied d'un arbre, sous l'ombre de ses feuillages éclairés par le soleil, dessinant une arabesque sur l'herbe verte et fraîche. J'inspire profondément. Je me sens... profondément idiot pour tout dire. Je ne suis pas le premier à faire des déclarations d'amour. Non plus le premier à en avoir peur au point d'y renoncer. Mais ce que j'oublie, c'est qu'elle n'est pas un monstre, non plus une créature qui ferait du mal intentionnellement à ceux ou celles qu'elle apprécie. Cette simple pensée, apaise l'incendie qui s'est emparé de tout mon corps. Même si elle ne veut pas de moi, j'aurai eu le courage, de mettre des mots sur mes sentiments... Je crois que c'est probablement ça, le plus important. Je me relève, les poings serrés et expire profondément. Allez, je peux le faire. Je ne suis pas moins attirant qu'un autre... j'ai une chance, si je me débrouille bien, j'ai une chance... L'espoir semble naître, me procurant un drôle de frisson. Je m'avance vers le campement de celle qui fait fondre mon cœur dit de glace. En chemin, mon œil est attiré par une jolie fleur. L'une des toutes premières du printemps. Ses pétales rosés et son cœur jaune en font une magnifique plante à l'apparence délicate Elle semble si fragile, que le seul fait de la cueillir pourrait ternir son éclat. De toute la douceur dont je suis capable de faire preuve, je saisis entre deux de mes doigts, et coupe sa tige, son lien vers la terre. Elle est désormais vouée à mourir. Un pincement au cœur me fait grimacer. Elle aurait du mourir de toute façon, mais avais-je le droit d'interrompre le processus naturel ? Non, sûrement pas. Il est trop tard pour retourner en arrière. J'adresse une petite prière pour cette fleur avant de reprendre ma route. Le paysage défile sans que je ne lui accorde la moindre importance, plus je m'approche, plus l’atmosphère semble pesante. Une fois devant le campement du Clan de l'Automne, je m'arrête. Entrer comme un malpropre m'attirera des ennuis, d'énormes ennuis. Ce ne serait pas très avantageux pour séduire la belle. Je me cache donc à une certaine distance de l'entrée du campement, et patiente. Le soleil se couche quand enfin, elle apparait. Son corps dégoulinant et suintant d'une chose violette dont je ne saurais identifier la provenance. Son odeur nauséabonde qui me piquait les narine... Ma princesse... (8D) Elle était seule. J'attends quelques instants qu'elle s'éloigne pour la rejoindre. En face d'elle, je lui tends la fleur que j'avais cueilli. Elle avait un peu fanée, mais demeurait belle. Elle l'a saisit sans un mot, et me regarde, intriguée. Entre ses doigts, le fleur se pourrit en quelques secondes, mais je n'y fais pas attention. Je commence d'une voix hésitante :
" Marécage... J'ai une question importante à te poser. La seule chose que je te demande, c'est de me répondre en toute sincérité. "
Elle hoche la tête :
" M***** ? D'accord... Mais fais vite, tu n'as pas le droit d'être là, et je suis pressée ! "
Je ne prend plus aucune précaution, et rentre dans le vif du sujet :
" Je suis fou amoureux de toi ! Depuis... tellement longtemps ! Partages-tu mes sentiments ? "
Le Tadmorv me regarde, sans esquisser le moindre geste, puis éclate soudainement de rire. Je panique un peu, et lui adresse un sourire contrit. Quand elle se calme, elle me répond, sans pouvoir s'empêcher de ricaner :
" C'est ça qui te tracasse ? C'est pour cela que je ne te vois plus ? C'est idiot ! Je ne vais pas te dire que je suis désolée mon petit M*****, parce que ce n'est pas vrai. Pour moi, tu n'es qu'un ami sympathique ! Sûrement pas un partenaire ! De toute façon, si tu m'aimais vraiment, tu saurais que je suis amoureuse de Grotadmorv ! Mon cœur ne bat que pour lui ♥ J'imagine que ma réponse ne te conviens pas, mais je m'en fiche. Disparais maintenant, avant que je ne sois obligée de te chasser moi même ! "
Elle s'en alla en riant à gorge déployée. Je ne me fis pas prier. Je prit mon envol et disparu au delà de la cime des arbres. Mon cœur brisé ne s'en remettrait pas aussi vite que je pouvais l'espérer. Peut-être ne s'en remettrait-il jamais ? Dans un élan de colère qui avait suivit la tristesse, je m'étais appliqué à tout ravagé autour de moi. Un acte stupide de plus, à rajouter dans cette journée totalement ratée, que je préférais oublier... Résumé : Ici, c'est l'histoire d'un pokémon amoureux qui doit déclarer sa flamme. L'élément de surprise ? Le choix d'un pokémon répugnant et la description péjorative qui donne le sourire et peut même faire rire. Tadmorv... qui aurait le cran d'aimer ce genre de créature ouvertement ? XD De plus, le rateau clair, net, concis voir même douloureux rend la situation encore plus ridicule ! Mettez votre sérieux au placard et lancez-vous dans une joyeuse bêtise ! Ici les fautes n'ont choqué personne et le test à été validé par tous le jury. L'avis d'un des membres du jury : Pas d'avis constructif à vous donner cette fois-ci, désolé. Maintenant passons à l'absence d'élément captivant et au côté "bâclé". Sans élément intéressant vous avez peu de chance de convaincre le jury qui ne va pas lire votre texte et qui va se contenter des trois premières et dernières phrases. Il faut savoir justement doser les descriptions, les dialogues et les personnages. Si vous incluez des personnages autres que vous dans votre test, il faut impérativement que vousles décriviez pour ôter le côté vide de la marionnette qui n'est là que pour une fois. Rendez les méchants méchants en leur donnant des vrais objectifs et les gentils bons de par leur sens du sacrifice ou n'importe qu'elle autre valeur noble. De plus, même si la taille importe peu, un texte trop court inspirera au premier abord l'impression que vous ne vous êtes pas appliqués, encore un mauvais point. - Spoiler:
Ce jour là, ce fut un jour que je n'oublierais jamais, c'était une journée venteuse et peu agréable. J'étais dans le camp, revenue d'un patrouille de chasse, tout autour, le feuillage des arbres semblait s'enflammer malgré le vent et la fine bruine. Faisant ma toilette, je regardais du coin de l’œil mon rival depuis toujours; Serre d'Aigle. Ce guerrier sournois faisait tout pour devenir chef, cela faisait longtemps aussi qu'elle voulait devenir lieutenante et elle irait presque à son but si Serre d’Aigle n'était pas là. Évidemment Étoile de Givre avait une grande confiance envers le matou noir et blanc, c'est pour ça qu'il le voit aussi bien lieutenant qu'elle. Enfin, revenons à cette fameuse journée, Serre d’Aigle était beaucoup étrange que d'habitude, il échangeait des regards partout comme si il se méfiait des autres. J'étais sure qu'il préparait quelque chose de mal intentionné donc je l'avais suivit avec prudence pour peut-être montrer au chef qui, était aveugle et qui lui a donné son confiance totale que le matou n'était pas si "gentil" qu'il n'en a l'air. En le suivant, je découvrit qu'il se dirigeait vers la frontière mais pas pour une patrouille car il était seul, enfin, pas exactement car après quelques instants plus tard, un autre chat apparut "Impossible!". Étonnée, je reconnu directement le grand et imposant matou gris brouillard nommé Brouillard Gelé. Je ne savais pas encore ce qui allait arrivé mais soit j'aurai vu cette horrible scène, soit je n'aurais jamais pu devenir lieutenante. Le suite, je vous la raconte comme je l'ai vue, une suite atroce: Serre d'Aigle lui parla d'un air méprisant et hargneux, je ne pouvait pas entendre la conversation d'où j'étais mais je put facilement deviné ce qui ce passait. L'autre matou gris blanc restait calme mais devenait impatient même si il faisait ressentir une certaine férocité. Ils commencèrent tout deux à sortit les griffes et à parler plus fort, Brouillard Gelé se jeta en premier sur Serre d'Aigle et celui-ci l'esquiva rapidement avant d'en profiter pour lui sauter sur le dos et le lui griffer avant de monter à la gorge et de donner le coup final...Horrifiée, j'étais complètement gelée sur place. Seulement, Serre d'Aigle se léchait les pattes et emmenait le corps sanguinolent vers la frontière recouvrant celui-ci de feuilles mortes. Pendant ce temps-là il ne faut pas croire que je restait là pétrifiée, non j'étais partie au camp à toute vitesse. Arrivée au camp, j'entrai directement dans l'antre du chef, sans lui expliquer ce qui ce passait, je lui demandai de venir avec moi en vitesse. Essoufflés, nous étions arrivés devant la scène du crime commis par Serre d'Aigle, la trace du sang était encore toute fraiche tant je fus rapide. Étoile de Givre ne dit rien cependant il voyait tout, je l'emmena vers le lieu du corps inerte, un énorme tas de feuilles se dressa devant nous, je fis virevolter les feuilles rouges et oranges et le corps de Brouillard Gelé, se trouvait par miracle devant nous. Pour la fin de l'histoire, je l'ai vécu merveilleusement bien, Serre d'Aigle prit la fuite quand il nous eut entendu, nous avions pisté sa trace à l'odeur mais aussi aux petites taches de sang qu'il laissait sur son passage. Nous ne l'avons pas retrouver, perdu dans la nature mais quand il reviendra, il sera exiler sur le champ surtout si c'est moi qui sera Cheffe à son retour... Résumé : Ici, c'est l'histoire d'un personnage qui veut devenir lieutenant mais qui se retrouve face à un Rival de la même envergure que Griffe de Tigre dans LGDC. Il n'y a pas tant de faute que cela, mais ce texte manque de vocabulaire, fait l'objet de répétitions et n'est pas intéressant à lire. L'avis d'un des membres du jury : Il y a pas mal de fautes et je trouve qu'elle parvient à prouver les mauvaises intentions de son concurrent un peu trop facilement. N'oublions pas que dans LGDC, Cœur de Feu a mis deux/trois tomes pour prouver la culpabilité de Griffe de Tigre. Je n'en attendais pas autant, certes ! Mais à mon avis, une ou deux péripéties n'auraient pas été de trop.Désormais le pire ennemi des lecteurs les fautes. Lire un texte plein de faute, c'est très désagréable. Parfois, quand un mot est mal orthographié il peut dire autre chose. Exemple : se et ce. Le premier sert à décrire une personne (souvent en pleine action) le second un objet ou élément. Les fautes contraignent souvent à plusieurs relectures ce qui a le dont d'agacer ceux que ça n'ennuie pas fortement. Veillez donc à faite attention et passez votre texte dans des correcteurs pour ne pas perdre de points bêtement ! - Spoiler:
Le silence de la Savane, en pleins milieu de la nuit. En silence si net, que toute créatures vivant sur cette grande terre, la Terre des Lions, semble endormie par mille et un rêves profond. Toute les créatures ? Non! Il faut bien quelqu'un qui fasse exception à la règle et cette fois, on pourrait presque dire pour un fois, c'est Ishana qui ne dort pas. Couché auprès de son frère et de sa mère sous un arbre non loin du grand et majestueux rocher de la fierté, la tête relevée et les oreilles en avant, le lionceau semble guetter le moindre signe de vie, passant son regard or sur sa petite famille qui semble bercer par le sommeil. Il semble impossible pour la petite lionne de fermer l'œil, et nous savons tous que les lionceaux sont aventureux, et pour une fois, La petite Ishana va désobéir. Silencieusement, elle se relève, le pelage un peu poussiéreux, et, à pas feutré, s'éloigne des deux autres lions rouges pour s'aventurer dans l'immense Savane.
Malgré sa naïveté, Ishana semble consciente du danger et reste aux augets, écoutant chaque bruit sauvage en balayant le paysage de ses yeux orangé. Paysage, pas vraiment, pour l'instant, elle marche silencieusement au milieu des hautes herbes, guettant le moindre prédateur de minuit. Enfin, après une bonne marche, les herbes sèches et hautes de la Savane Africaine laissèrent place à une grande prairie, ou le sol y était plus doux et bien plus court. La petite femelle se plaça au centre de celle ci et s'assit , regardant au loin. Mille et une questions traversaient sa tête rien qu'en admirant ce paysage qui, malgré la nuit noir, était éclairé d'une lumière blanche presque aveuglante. Intrigué, Ishana leva la tête, en direction de la provenance même de la lumière. Elle avait déjà observé plusieurs fois, ce soleil de la nuit, et ne cessait de se demander à quoi il servait. Pourtant, étrangement , elle ne l'avait jamais demander a sa mère. Mais, le plus étrange dans tous ça, c'est que ce soleil ne brillait pas seul, accompagné de millier de petits soleils qui brillaient bien moins fort.
Mais pourquoi?
Encore une fois, Ishana était submergée de questions, observant chaque partie du ciel avec attention. Elle conclu que c'était le Soleil de la nuit, qui était comme un lion, accompagné de ces milliers de petits qui brillaient eux aussi, comme pour l'aider. Comme si la nuit voulait briller autant que le jour. Pourtant, sans le noir de la nuit, comment pourrait t'on dormir? En observant de plus près les petits astres lumineux, elle pût remarquer que ceux ci bougeaient. La petite lionne se demanda encore une fois : Pourquoi? " pourquoi bougeaient t'ils? Puis, elle s'imagina, le Soleil de la Nuit fuir , suivit et devancer de ces petits, qui étaient ces petits soleil qui brillent, un troupeau de gnous, défilant à toute allures dans leur direction , faisant se soulever de la poussière , tapant des pieds et ravageant tous sur le passage, cachant le ciel de poussière , ces gnous, c'étaient les nuages. Ishana se sentie presque menacée, à l'idée de ce troupeau qui ravageait le ciel en arrivant, tapant des pieds si fort qu'il provoquait des éclair au loin. Presque tremblotante, la petite retroussa le chemin, slalomant en direction du rocher le plus vite possible. Elle ferma même les yeux pour ne pas se les fouetter avec les hautes herbes qu'elle traversait. Elle se sentait poursuivit, son cœur battait la chamade, le troupeau se rapprochait et même si il était dans le ciel, il provoquait des orages, et les orages, c'est dangereux.
Ouf.
Au loin, elle remarqua la grande silhouette fine de sa mère et la petite trapue de son frère, maintenant à pas feutré, elle se dirigea vers eux et se glissa entre les deux, fermant les yeux en espérant ne plus revoir se nuages en les rouvrant. Résumé : à venir je vous avoue que je ne l'ai pas relu L'avis d'un membre du jury : Déjà, on voit dès la première phrase une faute bête d'orthographe... et s'ensuit un début de phrase sans sens xD "En silence si net" donc on a déjà une première idée de ce que va être la suite (omg, je me répète D8). En effet cela ne s'arrange guère ; fautes d'accord, texte mal ponctué, malgré un bon emploi du vocabulaire, j'en conviens... Pour moi, ce sera non, en tous cas. D8Votre dernier ennemi : le ridicule. Faire un texte marrant, effrayant, joyeux ou triste... nous, on adore. Ce qu'on aime moins c'est quand l'auteur en fait beaucoup trop. Il faut savoir rester léger ou se faire relire par quelqu'un pour qu'il vous dise si c'est ou non trop surjoué. Veillez à ne pas utiliser trop d'hyperboles, ne soyez pas lourds et sincèrement, si ça ne vous fait pas rire en relisant, alors ce ne nous fera pas rire non plus ! - Spoiler:
Le soleil se lève, lentement mais surement. L’aube d’un nouveau jour ; Une beauté sans pareil. Le ciel prend de belles couleurs rosées, un rendu si magnifique… Les yeux bleus du Lieutenant regardent les alentours du Camp, détaillant chaque recoin de près. De très près. Les guerriers et les apprentis ne vont pas tarder à se lever. Du moins, c’est ce qu’espère S***. Le Gardien des Sept Mers patiente donc un long moment, attendant patiemment à ce que beaucoup de pokémons se lèvent. Alors que la majorité du Clan rejoint la clairière, le Lieutenant du Clan de l’Automne déploie ses longues et grandes ailes blanches, qui n’ont pas de plumes comme un simple oiseau en a. D’un violent coup, le Lugia se propulse dans les airs, planant vers le centre du Camp. Les membres du Clan s’écartent pour laisser la place à leur supérieur. Avec plusieurs battements d’ailes, S*** se pose au sol, repliant ses ailes vers lui. Comme à chaque matin, un groupe de guerriers entoure le pokémon de type Psy. Celui-ci détail de près chaque guerriers, choisissant quelle patrouille celui-ci accompagnera. Avec rapidité, le lieutenant ouvre la gueule pour parler.
« Eh bien… Révérence des Cieux, tu dirige une patrouille de chasse. Prends Nuage Venteux et Arbre Mort avec toi. Cadavre Noir, tu prends une autre patrouille. Ensuite… Solitude Éternelle, tu vas prendre une patrouille frontalière, pour une fois. Prends Incendie Ravageur, Ombre Imposante et Nuage de Foudre avec toi. Griffe du Fauve, Pelage d’Épine et Feu Ardent, venez avec moi. »
Le Légendaire prends son envol pour attendre les trois guerriers à la sortie du Camp. Un Seviper, un Drascore et Ténéfix. Les trois pokémons arrivèrent vers leur Lieutenant, curieux. Le gardien des Abysses prend son envol, planant près du sol, veillant à ce que ses guerriers soient derrière lui. Après un long chemin, le Lieutenant du Clan de l’Automne atterrit dans la Forêt Empoigne, l’endroit parfait pour un entrainement au combat.
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S*** atterrit délicatement au sol, tournant sa tête de gauche à droite. Ses guerriers s’arrêtent devant leur supérieur, attentifs pour la suite. Avec sagesse, le gardien des abysses hoche doucement la tête et s’envole sur un perchoir, un peu plus loin. Une fois posé, il se redresse, ses ailes à moitié déployées.
« Je vous ai emmenés ici pour un entrainement assez spécial. Vous devez me combattre, tout les trois, jusqu’à ce que je tombe sur le sol. Mais allez-y doucement, tout de même… Commencez ! »
Rapidement, le mâle s’envole avec un grand battement d’ailes, planant avec rapidité au dessus de ses guerriers qui commencent à lancer des attaques. Ils font cela avec précision, attendant que le Lieutenant arrive à un endroit précis pour lancer l’attaque préparée d’avance, espérant le toucher. Dès qu’une attaque effleure le Lieutenant, il descend, petit à petit, comme si son état empire de plus en plus. Il finit par atterrir sur le sol, un sourire au visage. Griffe du Fauve est tombé dans la neige la tête la première, ce qui fait rire les 3 Pokémons. Peu après, le Lieutenant retrouve son sérieux et donne de nouvelles consignes. L’entrainement dur un long moment, et les pokémons finissent par rentrer au Camp en début d’après midi. S***, une fois arrivé au Camp, fait une nouvelle patrouille de chasse. Il faut toutes les chances pour avoir quelque chose à manger, en cette saison. Peu après, le gardien des sept mers prit un maigre lapin sur le tas de gibier pour le manger seul. L’hiver est glacial, et le Lieutenant préfère donner les plus grosses proies à ceux qui en ont besoin. Mais alors, quelque chose l’interpelle : Étoile Oubliée n’a pas été aperçue, depuis toute la journée. Rapidement, le Lieutenant s’envole devant la tanière de sa Cheffe, anxieux. Une fois arrivé, le Lugia passe la tête dans la tanière, murmurant quelques mots. Le lit est froid. Si elle n’est pas là… Alors ou est-elle ? Intrigué, le Lieutenant sort de la tanière, plutôt pressé. Avec plusieurs battements d’ailes, le pokémon de type Psy prend son envol, montant haut dans le ciel. Une fois que le Légendaire est à une hauteur acceptable, il plane au dessus de son territoire, détaillant chaque mouvement, chaque chose suspecte. Le soleil est haut dans le ciel ; midi est passé depuis deux ou trois heures. Le Lieutenant du Clan de l’Automne observe les paysages, si beaux, et pourtant, il est anxieux. Il ne sait pas quand il va revoir sa Cheffe, ni si il vas la retrouver. Les territoires des quatre clans sont bien distincts : Un territoire Glacial pour le Clan de l’Hiver, un territoire en Forêt pour le clan du Printemps, un territoire Chaud pour l’Été et pour finir, un territoire… marécageux pour le Clan de l’Automne. Après un moment, le Lieutenant commence à perdre espoir. Il fait donc demi-tour, mais quelque chose l’interpelle. Une horde de pokémons sont regroupés juste en dessous du Légendaire. Intrigué, le lieutenant pique tout près d’eux, finissant par atterrir à quelques mètres derrière le groupe. Des avaltouts rient aux éclats tandis qu’un Miasmax tient quelque chose dans l’une de ses mains. Le gardien des abysses lève la tête et… horreur ! Le Miasmax tient l’Évoli entre ses mains ! La cheffe ne comprend pas la situation, ébahie. Le Lieutenant gronda et tous se retournent.
« Que veux-tu ? Laisse notre divinité tranquille ! - Votre… Comment ?! Notre divinité ! Cette Évoli est notre Déesse ! - … Sérieusement ? Étoile Oubliée ? Laissez-là tranquille, je suis son compagnon. - Que… QUOI ? »
Le Lieutenant du Clan de l’Ombre fixe le Miasmax, les yeux écarquillés. Dans cette forêt de pin, il ne pensait pas qu’une horde de pokémon serait venus. Pourtant, c’est le cas. Le gardien des sept mers fixe le Miasmax pendant un moment, cherchant une solution. Et alors qu’il allait renoncer pour tuer tout les pokémons, une idée lui vient à l’esprit. Et comme dans son petit plan, S*** prends soudainement un air apeuré en fixant des feuilles derrière le buisson. Terrorisés par ce qu’il peut y avoir, la horde de pokémon se tournent tous ensembles. Le gardien des abysses sourit et prit rapidement sa Cheffe par la peau du cou, s’envolant en quelques battements d’ailes. Il vient désormais de sauver Étoile Oubliée d’un groupe de pokémons. Sacrée journée. Résumé : Ici, c'est l'histoire d'un lieutenant qui perd de vue son chef qui s'est fait enlever par une colonie de miasmax la considérant comme une divinité. L'avis d'un des membres du jury : Pour moi, il y a BEAUCOUP trop de répétitions. Les actions ne sont pas claires, les descriptions vides et ennuyeuse. En ce qui concerne le thème euh... je veux bien qu'elle fasse quelque chose de drôle, mais là, j'ai trouvé ça assez lourd et pas surprenant. D'ailleurs la fin me parait juste bâclée et les évènements ont l'air collés les uns aux autres sans avoir de réelle relation... Donc je pense qu'elle a vraiment visé trop haut en désirant un légendaire et un rang important. Donc pour moi ce sera un non que je trouve assez justifié. Je pense même qu'elle n'a pas le niveau pour jouer un légendaire, un poste important... à la limite. <= ça c'est quand une admine oublie de prendre son café le matin =X. |
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